Nathaniel Van DerKramp Admin/ Étudiant en terminal.
Messages : 13 Date d'inscription : 12/06/2009 Age : 32
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| Sujet: Nathaniel Van DerKramp Ven 12 Juin - 23:27 | |
| Van DerKramp, NathanielÂge, date de naissance et origine: 22 ans, 19 avril, anglaise et française. Année d'étude: Terminale. Raison de votre venue: (À écrire en 3 lignes.)Domaine étudier: (Expliquez pourquoi ce choix, en 2 lignes, MINIMUM)Description physique:(À écrire en 8 lignes, c'est pas long!)Description mentale: (8 lignes!)Défauts: (3 au moins, la perfection, c'est inexistant.)Qualités: (3 au moins.)Histoire: (À écrire en 15 lignes.)Famille:(5 lignes, MINIMUM)Relations amicales, amoureuses, ambigües et autres: (en 5 lignes aussi. IL EST POSSIBLE DE DEMANDER DES LIENS AVEC D'AUTRES PERSONNES.)Exemple de RP: - Spoiler:
Le matin venait de se lever, tout comme Yóhanna qui se préparait pour une journée très importante pour elle. La jeune femme retournait aux études après un an d’absence et elle allait étudier à la même université que Junji, le père de sa fille. Bref, faisant sa valise, Yóhanna prenait le temps de songer à ce qu’elle allait dire à Junji. Et puis si elle le voyait avec une autre? Son cœur battait rapidement, tellement qu’elle croyait qu’elle allait en être malade. Une fois la valise fermée, elle descendit dans la cuisine où sa sœur, Sarah, l’attendait. Elle allait aller la porter pour sa première journée. Sarah fronça les sourcils devant la mine déconfite de sa sœur. Elle savait que Yóhanna n’était pas très heureuse de devoir revoir Junji et de tout lui avouer. En faite, elle avait hâte de le revoir, parce qu’il lui avait manquer et qu’elle avait toujours des sentiments pour lui, mais elle n’avait pas hâte de lui avouer la raison de sa disparition.
Sarah: Aller, sourit Yóhanna, tu fais une tête d’enterrement, tu sais bien que ce n’est pas la fin du monde de le revoir et de tout lui avouer… Si ça ce trouve, il est encore amoureux de toi et il ne t’en veux pas…
Yóhanna baissa la tête puis elle vient s’asseoir sur un tabouret au comptoir-lunch. Elle soupira, posant son menton dans le creux de sa mai net regarda par la baie vitrée.
-Tu veux dire quoi par il t’aime peut-être encore? Je l’ai abandonné… Oublié et je l’ai complètement trahis… Alors comment veux-tu qu’il aime encore la fille qui lui a brisé le cœur? Et puis merde… Sarah, penses-y deux minutes, si maman apprend que je suis ici… Je devrais encore repartir en Islande avec Vlad…
Le dernier mot, Vlad, avait été dit avec un certain dégoût. Elle détestait son beau-père, comme lui, il la détestait. Bref, elle prit un fruit quelconque dans le panier prévu à cet effet puis elle se dirigea vers l’étage où elle avait laisser ses bagages pour les descendre et les mettre dans la voiture. Alors qu’elle montait les marches, elle tomba face à face avec le mari de sa sœur. Beau, grand et fort, il lui sourit puis prit ses valises les descendit en bas. Yóhanna eut presque l’impression qu’il avait hâte qu’elle parte. Embrassant sa sœur et son beau-frère, la jeune Islandaise prit ses bagages, les posa dans le taxi puis elle y monta, le cœur légèrement gros. Étant donné qu’elle était quand même loin de l’université, elle eut le temps de s’endormir.
Ce fut seulement lorsque le taxi freina brusquement qu’elle se réveilla. Un rayon du soleil vient la frapper de pleins fouet lorsqu’elle sortit du transport. Elle paya le chauffeur puis elle regarda le grand bâtiment en soupirant. Était-elle vraiment capable d’aller tout lui avouer? Soupirant elle sortit un élastique et attacha ses longs cheveux noirs qui lui collaient à la nuque. Prenant la bride de son sac, elle le mit sur son épaule et partit en direction du bâtiment. Il y avait plusieurs nuages qui s’étaient formés en haut de sa tête, mais elle n’avait jamais vraiment remarquer. C’est les petite gouttelettes de pluies qui lui firent comprendre que le temps avait changé. Soupirant profondément, elle posa ses sacs puis mit le capuchon de sa veste sur sa tête pour éviter d’être mouiller. Elle n’était pas proche de sa maison. Marchant toujours, elle finit par s’arrêter près d’un banc et elle s’y posa, les larmes aux yeux. Elle se sentait étouffer de devoir s’y rendre. Comment pourrait-elle le regarder en face maintenant? Tant de mal avait été endurer et maintenant, elle devrait recommencer? Elle trouvait cela péniblement et démoralisant. Déjà qu’elle n’avait pas vraiment vue sa fille à sa naissance, maintenant elle devait avouer au père biologique qu’il avait une fille? C’était du vrai n’importe quoi! Alros qu’elle s’apprêtait à se lever, elle entendit des pas qui venaient vers elle. Yóhanna leva les yeux puis croisa le regard d’une personne…
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